Sa guerre à lui ne dura que quatorze jours. Le 16 avril, aux premières heures de la bataille de Montenotte, Johannes fut blessé d'une horrible manière.
"On April the 21st, The ICA, in The Mall, London, is hosting a 14-hour psychedelic extravaganza entitled OUR TECHNICOLOR DREAM.
The day is a celebration of the 40th anniversary of The 14-Hour Technicolor Dream, the massive be-in happening that took place in Alexandra Palace, North London in April 1967. The evening sees legendary survivors of that event Arthur Brown and The Pretty Things play along with freak-folk combo Circulus. The gig is now sold out, sadly, as is the Round Table discussion with underground legends Joe Boyd, Hoppy Hopkins, John Dunbar, Miles and Jenny Fabian.
However, there ARE still plenty of tickets for the afternoon's film screenings which should be a must to anyone with even a passing interest in 60s psych culture. Three separate bills have been lovingly put together and include many shorts hardly ever shown out these days, as well as a live film mix by the legendary Boyle Family. Each bill will be shown twice during the day. Tickets can be purchased online at: ica's our technicolor dream ..."
Il s'est révélé que l'expéditeur de la lettre était Eliot Juderose, le compagnon de Billy à l'hôpital militaire près du lac Placide. Billy a fourni à Trout des détails sur Juderose.
"Grand Dieu ! Je lui donnais dans lesquatorze ans. - C'est un quadragénaire. Il détenait le grade de capitaine pendant la guerre. - Il a le style d'un enfant de quatorze ans", lança Kilgore Trout. (...)
Au Waldorf, Sara (Kate Beckinsale) propose à Jonathan (John Cusack) de prendre chacun de leur côté un ascenseur, d'appuyer sur un étage. Si le hasard fait qu'ils se retrouvent au même étage, c'est que leur destin est de passer le restant de leurs jours ensemble. Malheureusement pour Jonathan, se glisse, sous la forme d'un petit diable, un grain de sable à l'étage 14...
(Serendipity/Un amour à New York, 2001, Peter Chelsom)
(...) Je me demandais si elles m'auraient aimé, si je leur avais proposé de sortir. J'avais quatorze ans, et je n'avais jamais réfléchi à mon apparence. En tout cas, je savais que je grandissais. (...)
(La Bible de néon, p.147, Robert Laffont, 1991, John Kennedy Toole)